Être le patron de soi-même est un statut professionnel que tout le monde est libre d’avoir. Dans l’univers du freelance, tout le monde est libre, mais cela jusqu’à quel point ?

Le freelance et toute son autonomie

Un freelance est donc une personne exerçant ses propres activités, c’est lui le boss et l’employé en même temps. C’est lui qui est décisionnaire et c’est un projet totalement autonome. C’est lui-même qui détermine ses clients et la nature des prestations offertes avec le prix, la modalité de payement et tout le reste. D’habitude, le statut de freelance est plutôt adapté aux activités sur le Net, parce que le reste est considéré comme des activités en tant qu’entrepreneur individuel.

Les avantages du freelance

La liberté, c’est cela le grand avantage d’être un freelance. Et puis, la responsabilité et la maturité viennent au cours des activités. Le freelance prend aussi un réel plaisir de savourer la récompense de ses efforts, ce qui marque le bien-être du travailleur indépendant. 

Le seul souci d’un freelance est qu’il n’a pas de stabilité de revenu. Il faut donc apprendre à gérer ses ressources financières pour éviter la faillite. Mais dans la plupart du cas, les freelances s’engagent à plusieurs activités, dont le côté finance est toujours propice. 

Faire un contrat avec le freelance

Demander le service d’un freelance ne se fait pas oralement, le mieux est d’établir un contrat par écrit. Plusieurs tirets sont à découvrir : 
Le freelance en question doit accepter la tâche proposée par le client. Les détails du CDC ou cahiers de charge sont bien marqués. Le freelance doit garder sa loyauté envers ses clients et prendre soin de bien suivre les directives marquées dans le CDC. Logiquement, une activité concurrentielle est interdite. 

Le freelance n’est pas obligé de légaliser son statut, vu qu’il n’y en a pas généralement, mais pour de gros contrats, il peut travailler sous l’étiquette d’une microentreprise.